Résumé du 6 Mai 2017

10 Févriers 1924.

Nous nous dirigeons vers Trieste, en Italie. A bord du train Peyton nous confie une étrange liste de course afin de performer un rituel une fois arrivé à Trieste : 51 vaches, 1 poulet, 20 thermomètres, 100g de poudre de cuivre, 1 plume de rapace, 300m de bobine de fil de cuivre, l’équivalent de 8 feuilles A4 de peau, 1l d’éther, 1l de chloroforme, du lait de pavot, du laudanum, 60g de plomb, du magnésium, de l’alumine, 2l d’alcool, 8 feuille d’une plante bien particulière, 1 marteau, 1 pilon, une grille, une bassine, un bon couteau, une bâche, une prothèse d’unijambiste et un œil de verre.

A notre arrivé à Trieste dans la soirée, nous sommes accueilli par un vent d’une puissance colossal : La « Bora ». Malgré le boucan infernal que provoque l’engouffrement de ce vent dans la gare, Avalon et Edward perçoivent un rugissement inhumain en provenance d’au-delà de la ville.

Pressé de nous mettre à l’abri de ce vent, nous nous rendons à l’hôtel « Savoia Excelsior Palace » qui est réputé pour son confort inégalable. Le maitre d’hôtel nous propose la suite princière, la meilleure suite de l’hôtel. Nous profitons ainsi d’une bonne soirée de repos grâce au confort qu’offre l’hôtel. Cependant, la nuit fut difficile : nous n’avons pu dormir convenablement et Raksha fut dans l’incapacité de rejoindre le rêve.

Gros titre : Nuit de Terreur à Sofia : Incendie.

11 Févriers 1924.

Le vent est encore très présent.

Au matin, nous nous sommes fait interrompre pendant une discussion sur les « Lloigor » par Peyton qui venait tout juste de vandaliser une prise électrique dans le but de récolter un peu de fil de cuivre. Avec ce fil elle put fabriquer deux pendentifs qui ont pour particularité de permettre à leurs possesseurs de pouvoir pleinement profiter de leurs nuits de sommeils. Néanmoins ces pendentifs ne fonctionneront que durant 3 jours.  

Suite à cela, le room service vient frapper à notre porte pour délivrer à Avalon une lettre scellée par le sceau de l’ordre du noble bouclier et qui aurait été remis à l’hôtel par le frère de Peyton, James, il y a un an de cela.  A travers cette lettre, James nous explique qu’il est à la recherche de la tombe du croisé qui aurait emmené avec lui le « Min Seis ». Cette tombe serait située dans la ville de  « Vinkovci » entre la Hongrie et la Croatie.

Pour le reste de la matinée nous nous sommes divisés en deux groupes : le 1er est composé d’Edward, Maxwell et Peyton avec pour objectif de rassembler tout le nécessaire pour performer le rituel.

Quant au deuxième groupe, c’est à dire Avalon et Raksha, se rend au musée avec pour indice le nom d’un contacte laissé par Bedoes avant notre départ de Londres, un certain « Winckelmann ».

Le groupe Shopping n’a pas eu de difficulté pour rassembler la plus grande partie des composants du rituel notamment grâce aux atouts de Maxwell sous déguisement de russe bourgeois. Il manque cependant les peaux, les bobines de fil de cuivre, les vaches, la prothèse et l’œil de verre.

De leurs côtés, Avalon et Raksha apprennent que le professeur Winckelmann est décédé et que sa tombe se situe dans le jardin du musée. La recherche fut difficile à cause du vent mais une sorte de temple dans le jardin attire leurs attentions. Une fresque présente sur le haut du temple représente des humains aux traits difformes présentant des offrandes à des sortes de reptiliens. Fait surprenant : la fresque est en piteuse état sauf les reptiliens qui donnent l’impression d’avoir été peint la veille même. Aucun mythe romain de l’époque ne fait mention de ces créatures. Le temple n’est pas éclairé mais est occupés par un groupe de chats qui s’y sont abrités du vent. Ces derniers expliquent au groupe que le rugissement entendu la veille provient de la grande chasse d’« Ithaqua ». Ils parlent aussi de la présence régulière d’humain pourvu de tentacules et sentant le poisson.

En plus du groupe de chat, Avalon et Raksha découvrent un sarcophage au nom de Winckelmann. A leurs retour au musée un employé leurs explique que Winckelmann était un archéologue qui est mort à Trieste en 1768 et que des médaillons lui appartenant son exposé ici. Le conservateur accepte de montrer plus en détails ces médaillons : 7 médaillons sur lesquelles sont gravés des scènes ou des personnages historiques, quant au revers d’étranges inscriptions en « Aklon » s’y trouvent. Avalon pris en photo ces médaillons. Il semble aussi qu’il manque un médaillon. Avant de partir du musée, le conservateur explique que des ouvrages sur Winckelmann peuvent être trouvés à la bibliothèque et que la famille Termona, qui ont fait don des médaillons au musée, habite non loin d’ici.
Retour à l’hôtel pour faire le point et décider de la suite. L’appareil photo a été confié au personnel de l’hôtel afin de faire développer les Photos des médaillons.

Nous formons à nouveau deux groupes : Peyton et Maxwell vont s’occuper du rituel pendant qu’Avalon, Raksha et Edward vont se rendre à la bibliothèque pour des recherches.

Le rituel, bien qu’assez sale, se passe sans accroc. Maxwell s’assurant que personne ne vienne interférer.
A la bibliothèque, nous apprenons que Winckelmann fut assassiné par un voleur qui voulait s’approprier ces médailles et qu’avant d’expirer il aurait écrit un étrange testament afin de léguer ses possessions à un serveur de l’hôtel ou il résidait : le « Loconda Grande » alors qu’il avait encore de la famille en vie. Quant à ses papiers et son journal ils ont été vendus aux enchères à un historien local.

Nous trouvons aussi un rapport de tribunal traitant d’une altercation lors du passage des armées napoléoniennes. Le sergent Legrand aurait été assassiné par un homme du nom de Marketi pour s’emparer d’un objet de valeur caché dans son sac. Héron, Laniere et Cauchefaire, les subordonnés du sergent Legrand, ont traqué Marketi pour venger leur supérieur et récupérer son bien. Acculé par ses derniers, Marketi aurait étranglé Héron et assommé Laniere avant d’être tué par Cauchefaire à l’aide d’une buche. Cauchefaire devint fou par la suite. Laniere aurait déclaré que Marketi possédais le corps d’un monstre lorsqu’il tue Héron. Le corps de Marketi ne put être identifié.
Avant de partir de la bibliothèque nous apercevons un étrange homme assis dans un coin les bras croisés sous sa veste, qui attend que quelqu’un tourne ses pages avant de continuer à lire.

Suite à ça nous nous rendons a la demeure des Termona. Un homme âgé de la cinquantaine dépourvu de manière et borgne nous a ouvert la porte et nous a fait patienter dans le hall. Le maître des lieux, Anthony Termona, se présente à nous. Cet homme, dont il manque un bras, nous explique que contrairement à son père qui s’intéressait à l’art Greco romain, lui était plutôt porter sur la culture indienne. Il nous autorise néanmoins à emmener le journal de Winckelmann, qui est écrit en ancien grecque, à la condition que nous lui fassions part de la traduction et que nous lui rendions le journal avant notre départ de Trieste.

A notre retour à l’hôtel aux alentours de 18h, Edward découvre Peyton nue, couverte de symbole de sang, et étendue de fatigue par terre dans la salle où elle à pratiquer son rituel ainsi que des flacons emplie d’un produit et des os de poulet qui marine dans une substance. Ces produits semblent être le résultat du rituel. Tandis qu’Avalon s’occupe de Peyton, le reste du groupe profite d’une partie de la nuit pour nettoyer les salissures engendré par le rituel. Edward pu aussi en profiter pour traduire une partie du journal, qui bien que remplie d’une quantité impressionnante de détails anecdotique sur la vie à Rome, contenait aussi un rituel d’invocation de Lloigor et des extraits de journaux sur le dernier séjour de Winckelmann à Trieste, avant sa mort.

Avalon et Peyton purent profiter de la nuit grâces aux amulettes conçues par cette dernière.